J'etais partit loin dans une foret tropicale. J'avais un coeur qui palpitait. J'etais un homme avec ce qu'il a de plus beau et de plus laid. J'etais loin dans un autre monde. Je ne pouvais pas partir, je ne pouvais rien faire, j'etais prisonnier de l'espace, je ne savais plus quoi faire, je suis partis, j'ai voulu arrêter de partir, partir aussi loin, je suis partis si loin, es ce qu'un jour je pourrais revenir, es ce que ce monde je l'aime, es ce que si je part je pourrais un jour revenir, es ce toutes ces questions toi aussi tu te les poses, non la je sais plus, je ne sais plus je voudrais encore partir, suis je encore vivant? Et le robot passe inlassablement se nourir de mes phrases, Pourquoi? Es ce que tout ceci a un sens? Regardes je repete encore poesie sur cette page, je suis le poete sur internet. Inutile parfaitement inutile. Purrement pour aucun sentiment. Sans jamais le savoir. Je partais si loin dans cet univers. Je savais pas si je pouvais revenir. |
Poesie arriere ~~ Désir transparent, des larmes qui coulent, une ballade dans un univers infini, je vais dans tous les sens, à toute vitesse mon âme parcourt cette matrice de long en large et en travers, de partout elle est allée, de l'infiniment petit à l'infiniment grand, l'impression d'avoir déja vu, avoir fait le tour, je vais à toute vitesse dans ce monde si grand et moi si vite je le traverse quand surprise, croyant avoir déja tout vu de cet univers, tu apparais devant moi tel une source de lumiére qui traverse cette matrice que je pensais connaitre. Cogite globale interlude de la pensée, un hotel en provence, retour aux certitudes, les mots me font vivre faut bosser. J'étais dans un univers et toi aussi. Pourtant seul tu etais la. J'ai foncé sur toi. Un gel petrifiant. De terreur il fut trop tard pour reculer. Gigantesque tragedie. Je n'etais plus le libre prisonnier de ce monde dont je ne pouvais revenir. Je suis peut être or not tel fut mon rêve de retour sur la terre je me demande si je ne suis pas toi et toi moi et si nous nous reunissons alors de ce gel petrifiant en retour nous aurions un enfant, un peu de vie. |