Photo de la fondation Victor Vasarely à Aix en Provence au Jas de Bouffan.
Remarquez le contraste entre les carrés et les ronds de cette architacture cubique, c'est trés original et estetique, Vasarely a été trés copié et il l'est toujours car il avait du talent, voyez vous meme avec ces photos que je trouve extraordianire !
Fondation Vasarely - Photos copyright As tu vu Canon Eos 350 D - Une perspective étonnante!
Photo du parc en face des batiments de la fondation Vasarely, on est fin Novembre 2005 à Aix en Provence
Photo prise en fin de journée au Jas de Bouffan derriere la fondation Vasarely, vue d'Aix en Provence ( la Zup en premier plan) et de la Sainte Victoire au fond
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Victor Vasarely, de son vrai nom Vásárhelyi Győző (9 avril 1906-15 mars 1997) est un artiste souvent acclamé comme le père de l'Op art
Né à Pécs en Hongrie, il suivit une formation en médecine mais la quitta au bout de deux ans.
Il s'intéressait alors à l'art abstrait et à l'enseignement du Bauhaus à Budapest.
Il partit s'installer à Paris au début des années trente, travaillant en tant qu'artiste graphiste. C'est ici qu'il a effectué son premier travail majeur, Zebra, considéré aujourd'hui comme le premier travail dans le genre Op art. Pendant les deux décennies suivantes, Vasarely développa son propre modèle d'art abstrait géométrique, travaillant dans divers matériaux mais employant un nombre minimal de formes et de couleurs. Son travail lui a valu sa renommée internationale et il a reçu plusieurs prix prestigieux.
Il crée pour cela, en 1976, un centre de recherche architectonique à Aix-en-Provence et deux musées « didactiques » Vasarely, à Gordes où il a été entrainé par Jean Deyrolle (1970) et en Hongrie à Pecs (1976).
Il est décédé à Annet-sur-Marne le 15 mars 1997 à 91 ans.
Le musée Vasarely en Hongrie contient une collection importante de son travail, aussi bien que celle de beaucoup d'autres artistes d'origine hongroise qui ont travaillé à l'étranger.
Il est le père de l'artiste Yvaral, qui produisit des œuvres dans le même style.
La fondation Vasarely
Qu'est devenue la Fondation Vasarely, institution à but non lucratif, reconnue d'utilité publique en 1971, conçue et financée par Claire et Victor Vasarely? Des donations inaliénables et aliénables considérables ont doté cette institution pendant plus de vingt cinq années dans le cadre de la législation française sur les fondations; législation très exigeante et pourtant tellement perméable... La Fondation Vasarely est gérée de 1981 à 1993 par l'Université de Droit, d'Economie et des Sciences d'Aix-Marseille III, aujourd'hui Université Paul Cézanne. Le 27 novembre 1990, date du décès de Claire Vasarely, épouse de Victor Vasarely, marque le début d'une longue et pénible procédure judiciaire qui se termine le 11 mai 2005 par la condamnation définitive du Doyen Charles Debbasch, ancien président de l'institution, devant la Cour d'Appel d'Aix-en-Provence. Madame Michèle-Catherine Taburno-Vasarely, belle-fille des fondateurs, qui conduit les intérêts de l'hoirie Vasarely (André et Jean-Pierre), ancienne présidente de la Fondation de 1995 à 1997, prend possession en 1997, l'année du décès de Victor Vasarely, de près de 500 œuvres originales inaliénables du Musée didactique de Gordes (fermé définitivement depuis 1996), de 798 études inaliénables sur l'Art et la Cité du Centre architectonique d'Aix-en-Provence et d'environ 18000 multiples aliénables. Des œuvres anciennement inaliénables sont expatriées et bradées. La succession Vasarely est débitrice fiscalement de plusieurs millions d'euros. Le conseil d'administration de la Fondation ignore la réalité de ses statuts. La Fondation Vasarely est exsangue et n'est plus qu'une coquille vide. Quelques mois avant le centenaire de la naissance de Victor Vasarely et le trentième anniversaire de l'inauguration du Centre architectonique d'Aix-en-Provence (2006), l'association pour la défense et la promotion de l'œuvre de Vasarely présidée par Pierre Vasarely, petit-fils et légataire de Victor Vasarely, se bat pour que la Fondation Vasarely recouvre ses collections.
Distinction
1964: Prix Guggenheim
1970: Chevalier de L'Ordre de la Légion d'honneur
Art Critics Prize, Bruxelles
Médaille d'or à la Triennale de Milan
Lien externe
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